Actualités Armée de l'air 07 (2013-2014)




Georges Guynemer - Dugny (11/10/2013)

Dugny met à l’honneur le capitaine Georges Guynemer
(Actualité Armée de l'air)

Mise à jour : 08/10/2013 08:11
Samedi 5 octobre 2013, l’armée de l’air s’est associée à une cérémonie de commémoration des dix ans de la stèle érigée à la mémoire du capitaine Georges Guynemer, à Dugny (93).

Cette cérémonie, organisée traditionnellement par le comité franco-belge du souvenir Guynemer, s'est déroulée samedi 5 octobre 2013, à Dugny (93). Cette commune, qui recouvre une grande partie de l'aéroport du Bourget près de Paris, a érigé un buste de Georges Guynemer dans le centre-ville, sur le terrain de l’ancienne base aérienne 104. Ce monument symbolise depuis 10 ans les liens historiques qui unissent Dugny à l’aviation militaire, puisque c’est en 1914 qu’elle y a installé son premier casernement, prémices de la base aérienne 104.
À cette occasion, le général Michel Fritsch (accès privé), inspecteur "emploi" de l’armée de l’air, représentait le chef d’état-major de l’armée de l’air. Il était accompagné d’une délégation d’aviateurs, parmi lesquels un ensemble de la Musique de l’air, quatre élèves de l’École de l’air et le commandant de la SPA 3, escadrille de Guynemer. Deux Mirage 2000-5 de l’escadron de chasse 1/2 "Cigognes" ont également défilé dans le ciel de Seine-Saint-Denis.
Lors de son allocution, le général Fritsch a souligné l’attachement de l’armée de l’air à honorer la mémoire de ce héros de la Première Guerre mondiale. "La commémoration de la disparition de Georges Guynemer est un anniversaire important pour l’armée de l’air, car elle nous renvoie à la création de l’aviation militaire, à la naissance de la chasse française. Et, alors que notre vie quotidienne nous offre peu de moments de répit afin de regarder sereinement notre passé, cette cérémonie est une occasion privilégiée de nous pencher sur un siècle de notre histoire." Et l’officier général de conclure : "Le 19 octobre 1917, l'Assemblée nationale et le Sénat installaient au Panthéon, « dont seule la coupole avait assez d'envergure pour abriter de telles ailes», une plaque au nom du «Capitaine Guynemer, symbole des aspirations et de l'enthousiasme de l'armée de la Nation». Continuons à suivre son exemple, qui doit guider notre action."

Le buste du capitaine Georges Guynemer dans le centre ville de Dugny - © Armée de l'air


Le général Michel Fritsch représentait le CEMAA - © Armée de l'air


Le commandant de la SPA 3, escadrille de Guynemer, était présent avec le fanion. - © Armée de l'air





BA 116 Lieutenant-colonel Tomy Papin - Luxeuil - (03/12/2013)

60e anniversaire de la base aérienne 116 de Luxeuil
(Actualité Armée de l'air)

Mise à jour : 03/12/2013 09:57
La base aérienne 116 de Luxeuil-les-Bains (Haute-Saône) a célébré le 60e anniversaire de son inauguration, vendredi 29 novembre 2013.

Une cérémonie présidée par le général Serge Soulet (accès privé), commandant les forces aériennes (CFA) et le soutien des forces aériennes (CSFA), a ponctué cet événement, en présence d’autorités civiles et militaires, ainsi que de l’ensemble du personnel de la base.
Six aviateurs de la base franc-comtoise ont été décorés, dont cinq pour leur engagement dans l’opération Serval au Mali.
Un défilé des troupes à pied, ainsi qu’un défilé aérien ont clos la cérémonie.
Lors de ce 60e anniversaire, les invités ont pu découvrir un musée éphémère offrant, le temps d’une journée, un condensé de l’histoire de la base aérienne 116. Réalisée en collaboration avec le musée des anciens combattants de la Haute-Saône, cette exposition a retracé l’évolution du site luxovien, depuis les années 1910 jusqu’à nos jours.
C’est en 1950, sous l’impulsion du ministre de l’Air de l’époque, monsieur André Maroselli, qu’un vaste programme d’infrastructure est lancé pour installer à Luxeuil une grande base moderne aux normes Otan.
Après plusieurs mois de travaux et d’aménagement, la base est inaugurée le 22 novembre 1953.

Revue des troupes par le général Soulet - © Armée de l'air


Allocution du général Soulet - © Armée de l'air


Une formation spéciale composée pour les 60 ans de la BA 116 - © Armée de l'air

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Association des Pilotes de Chasse - Paris - (05/12/2013)

Réunion annuelle des pilotes de chasse à Paris
(Actualité Armée de l'air)

Mise à jour : 05/12/2013 08:25
Le traditionnel "dîner de la chasse" s’est déroulé, vendredi 29 novembre 2013, à Paris sur le site de l’École militaire. Au total, 360 membres de la communauté des "chasseurs", anciens et d'active, étaient présents : pilotes de l’armée de l’air et de l’aéronavale, pilotes de chasse étrangers en échange, navigateurs opérateurs systèmes d’armes ou encore opérateurs de drone.

Le dîner s’est ouvert par une allocution du général (2S) Jean-Pierre Martin, président de l’association des pilotes de chasse (APC), suivie d’une intervention du général Denis Mercier, chef d’état-major de l’armée de l’air (CEMAA). Le général Claude Van de Voorde, CEMAA belge, a également assisté à cette soirée, en qualité d’invité d’honneur.
Plus tôt dans l’après-midi, l’assemblée générale de l’APC a dressé le bilan des actions menées lors de l’année écoulée et a permis aux adhérents d’assister à deux présentations autour du thème des drones. En effet, le lieutenant-colonel Christophe Fontaine, commandant l’escadron de drones 1/33 "Belfort", a présenté l’activité de son unité, notamment à travers son engagement sur les théâtres d’opérations extérieures actuels. Le lieutenant-colonel Pierre Pougheon, de l'état-major de l'armée de l'air, a pour sa part évoqué l’évolution future des systèmes pilotés à distance.
Avec près de 1200 membres, pilotes en activité ou "grands anciens", l’association des pilotes de chasse a pour objectif de consolider la transmission des traditions entre les générations successives d’aviateurs.

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Allocution du général Martin (2S), président de l'association des pilotes de chasse - © Armée de l'air


Allocution du général Mercier - © Armée de l'air


360 membres de la communauté des "chasseurs" étaient présents - © Armée de l'air

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EDCM - Evreux - (22/12/2013)

L'escadron de détection et de contôle mobile reçoit son fanion à Evreux
(Actualité Armée de l'air)

Mise à jour : 20/12/2013 08:07
Jeudi 12 décembre 2013, l’escadron de détection et de contrôle mobile (EDCM) 90.538, implanté sur la base aérienne 105 d’Évreux, a reçu son fanion des mains du général Serge Soulet (accès privé), commandant les forces aériennes et le soutien des forces aériennes.

Présent à Évreux depuis l’été 2013, date à laquelle il a quitté Metz, l’EDCM est une unité sans équivalent au sein des forces aériennes. Sur le territoire national, il contribue au renforcement de la sûreté aérienne et, lorsqu’il est déployé sur les théâtres d’opérations extérieures, il œuvre pour la coordination interarmées dans la troisième dimension. C’est à ce titre que son personnel est actuellement déployé avec un système de détection et de contrôle tactique à Gao, au Mali, depuis le début de l’été.
Étape importante dans l’histoire et la vie d’une unité, la remise de fanion est un rendez-vous traditionnel incontournable. Le général Soulet a ainsi confié cet objet symbolique au lieutenant-colonel Franck Bertrand, commandant l’EDCM, lors d’une cérémonie officielle. Sur ce fanion, l’hippocampe ailé, plus vieil insigne de l’unité, représente l’essence et les missions de l’escadron, composé lui-même de deux escadrilles. L’escadrille de contrôle tactique et l’escadrille opérationnelle de transformation et de standardisation ont, elles-aussi, reçu leurs propres fanions.

Remise officielle du fanion - © Armée de l'air


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Baptême de promotion - Saintes - (08/01/2014)

Le baptême de la promotion 146 à Saintes
(Actualité Armée de l'air)

Mise à jour : 07/01/2014 08:50
La promotion 146 de l’école d’enseignement technique de l’armée de l’air (EETAA) a été baptisée "sergent-chef Dominique Demulier", vendredi 20 décembre 2013, sur la base aérienne 722 de Saintes.

La cérémonie du baptême de promotion a été placée sous l’égide du général Denis Mercier, chef d’état-major de l’armée de l’air (CEMAA). Cette année, la promotion a pris le nom du sergent-chef Dominique Demulier, lui-même issu de la promotion 80 des élèves techniciens, en 1975. Au cours de sa carrière il a gravi toutes les marches pour obtenir son brevet de mécanicien navigant. Affecté sur hélicoptère Puma, il est successivement muté à Cazaux et à Villacoublay avant de rejoindre l’escadron de transport outre-mer 58 Guadeloupe, basé à Pointe-à-Pitre. Alors que les Antilles subissent le cyclone Hugo, un des pires jamais connus, il n’hésite pas au péril de sa vie à décoller de nuit, le 20 septembre 1989, pour effectuer une évacuation sanitaire sur l’île de Désirade. Dans des conditions météorologiques exceptionnelles, son appareil s’abîme en mer provoquant la mort de toutes les personnes à bord : ses camarades membres d’équipage, les médecins militaires, des membres de la sécurité civile, le blessé. Un accident tragique qui brise neuf vies. Un drame qui est aussi le symbole de l’engagement des hommes et des femmes de l’armée de l’air au service de leur pays.

Le sergent-chef Dominique Demulier a été choisi comme parrain de la promotion 146 - © Armée de l'air,


Le général Mercier salue le drapeau aux côtés d'autorités militaires et civiles locales. - © Armée de l'air


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Escadrille F121 (ET 3/61 Poitou) - Orléans - (13/01/2014)

Renaissance de l'escadrille F121 au "Poitou"
(Actualité Armée de l'air)

Mise à jour : 13/01/2014 09:25
L’arrivée de DHC-6 Twin-Otter au sein de l’escadron de transport (ET) 3/61 "Poitou", de la base aérienne123 d’Orléans marque la renaissance de l’escadrille F121.

Par décision du général Denis Mercier, chef d’état-major de l’armée de l’air (CEMAA), cette escadrille reprend les traditions de la F121 jusqu’alors mises en sommeil. Sœur de la F118 sur C130 Hercules et de la F119 sur C160 Transall, elle sera à n’en pas douter, la digne héritière de ses Anciens spécialisés durant la Première Guerre mondiale dans la reconnaissance de jour comme de nuit et le bombardement aérien.
ujourd’hui les trois escadrilles du "Poitou" sont expertes dans les missions du commandement des opérations spéciales. Elles reconstituent les traditions du groupe de bombardement n°7 de la Première Guerre mondiale. (pris en compte : )

DHC-6 Twin-Otter - © Armée de l'air

Insigne de l'escadrille F121 - © Armée de l'air



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EC 3/11 Corse - Djibouti - (15/01/2014)

L'escadron de chasse 3/11 "Corse" fête ses 70 ans
(Actualité Armée de l'air)

Mise à jour : 15/01/2014 11:08
Jeudi 9 janvier 2014, l’escadron de chasse 3/11 "Corse", implanté sur la base aérienne 188 de Djibouti, a célébré ses 70 ans d’existence au cours d’une cérémonie présidée par le général Denis Mercier, chef d’état-major de l’armée de l’air. Retour sur un passé riche et glorieux.

Tout commence en 1933 avec la naissance du groupe de chasse (GC) I/3. En mai 1940, alors que ses aviateurs sont équipés de Dewoitine 520, le GC I/3 s’implique avec courage dans la campagne de France, au cours de laquelle il inflige de lourdes pertes à l’ennemi. La gloire du GC I/3 est lancé.
C’est trois ans plus tard que son nom de baptême, "Corse", est apposé à son numéro d’ordre. En effet, la Corse se soulève contre l’occupant, ce qui conduit le GC I/3 à se poser le 17 septembre 1943 à Ajacccio. Sa mission ? Couvrir la zone du port, base de ravitaillement du corps expéditionnaire français, et prendre ainsi part à la libération de l’"Île de beauté".
Après le conflit mondial et ses 108 victoires, le "Corse" poursuit dans sa lancée, notamment lors de la campagne de Suez et des opérations en Algérie . En mars 1966, après une brève dissolution, le groupe est désormais appelé escadron de chasse 3/11 "Corse". Implantés en République fédérale d’Allemagne, ses pilotes évoluent à bord de F100 Super Sabre et rejoignent la base aérienne de Toul-Rosière en octobre 1967.
Les années suivantes, le "Corse" prend part à de nombreuses opérations, du Golfe Persique à l’ex-Yougoslavie en passant par l’Afrique. Le Jaguar équipe l’escadron dès 1975. Mis en sommeil en 1997, le 3/11 renaît le 3 novembre 2008 sur la base aérienne 188 de Djibouti. Doté de Mirage 2000D et de Mirage 2000-5, il participe en permanence au dispositif de sûreté aérienne au-dessus du territoire djiboutien.
"Capable de réagir immédiatement et efficacement dans toute la zone de responsabilité des forces françaises de Djibouti, l’escadron de chasse 3/11 se révèle dans la corne de l’Afrique comme une capacité de combat incontournable", confie le général Mercier lors de la lecture de son ordre du jour. Et de conclure, en s’adressant aux aviateurs du "Corse" : "en célébrant le soixante-dixième anniversaire du 3/11 "Corse", nous rendons hommage à vos glorieux anciens qui ont porté au plus haut les ailes françaises."

L'escadron de chasse 3/11 "Corse" - © Armée de l'air


Le Mirage 2000-5 décoré pour l'occasion © Armée de l'air


Le CEMAA et les autorités saluent le drapeau - © Armée de l'air


Le Mirage 2000-5 décoré pour l'occasion © Armée de l'air


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FAS - Taverny - (15/01/2014)

Les forces aériennes stratégiques ont 50 ans
(Actualité Armée de l'air)

Mise à jour : 15/01/2014 12:02
50 ans. Voici l'âge atteint aujourd'hui, mardi 14 janvier 2014, par les forces aériennes stratégiques (FAS), qui n'ont malgré tout pas pris une ride. Les FAS mettent en œuvre la composante aéroportée de la dissuasion nucléaire, l'une des missions permanentes de l'armée de l'air.

"S’il faut que la France ait une épée, il faut que ce soit la sienne" - Charles de Gaulle, 1950.
Quatre années à peine après l’opération Gerboise Bleue, l’explosion de la première bombe atomique française, le 13 février 1960 à 7 heures, à Regganne (désert du Sahara), première démonstration de la maîtrise française de la puissance nucléaire, le décret n°64-46 signé par le président de la République Charles de Gaulle créait, le 14 janvier 1964, le commandement des forces aériennes stratégiques (CFAS). Ce court document de huit articles, pris en Conseil des ministres, attribue au président de la République en sa qualité de chef de l’État le pouvoir d’engager les forces nucléaires mais également de pouvoir définir les objectifs de ces dernières en sa qualité de président du conseil de défense et de chef des armées. Concrétisation d’un long cheminement entrepris depuis mai 1939 pour doter la France d’une arme atomique, il officialise le vœu présidentiel d’une indépendance nationale au travers de sa force de frappe afin de redonner à la France "le rang qui est le sien".
"Il nous faut faire comme Tintin, ce personnage célébre dans le monde entier et qui m’est particulièrement sympathique parce que c’est un petit qui ne se laisse pas faire par les gros …", dit alors l’homme de l’appel du 18 juin à André Malraux.
Pour la plupart des commentateurs, c’est avec ce décret que le rôle prépondérant du président de la République dans la direction de la défense nationale est officiellement reconnu. Le général commandant les forces aériennes stratégiques relève directement du président de la République. C’est de lui qu’il reçoit les ordres de mise en posture et c’est de lui qu’il pourrait recevoir, si les circonstances l’exigeaient, l’ordre d’engagement pour l’ensemble des forces nucléaires. Inversement, c’est directement au chef de l’État que le général commandant les FAS rend compte de l’état et de la disponibilité des forces et c’est également à lui qu’il rendrait compte de l’exécution de l’ordre d’engagement.
Ce décret transfigure l’armée de l’air, donnant naissance à une force moderne, voulue indépendante de toute source d’approvisionnement étranger par les instances politiques, libérée du jeu des alliances militaires et mettant en ligne le meilleur matériel de l’époque. Réduisant la chaîne de transmission des ordres au strict minimum, elle assoit sa capacité décisionnelle sur la décision d’emploi d’un seul homme : le président de la République. Grâce à la volonté affirmée de Charles de Gaulle qui leur confie la mise en œuvre exclusive de la première arme nucléaire conçue et expérimentée par le commissariat à l’énergie atomique (CEA, qu’il a également créé dès le 18 octobre 1945), les FAS, première composante de la dissuasion nucléaire, deviennent les garantes de la sécurité militaire de la France.
Un binôme indissociable va incarner cette "dissuasion à la française" : le Mirage IVA, appareil d’une haute technologie "made in France", et le Boeing C 135 F ravitailleur, appareil permettant de fournir l’allonge suffisante pour atteindre les objectifs les plus éloignés.
Ainsi dotées, les FAS sont alors prêtes, selon la formule d’Hervé Beaumont, à "redonner un destin à la France …3.

Journal officiel indiquant la création des forces aériennes stratégiques. - © Armée de l'air


Le général de Gaulle. - © Armée de l'air


Mirage IV armé. - © Armée de l'air


Ravitaillement d'un Mirage IV. - © Armée de l'air


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A400M Atlas - Colomiers (25/01/2014)

Cérémonie de baptême du deuxième A400M livré à l'Armée de l'air
(Actualité Armée de l'air)

Mise à jour : 24/01/2014 09:26
Le 22 janvier 2014, M. Kader Arif, ministre délégué auprès du ministre de la Défense, chargé des anciens combattants a présidé la cérémonie de baptême du deuxième A400M Atlas, sur le site du centre de livraison d’Airbus, à Colomiers.

Accompagné du général Denis Mercier, chef d’état-major de l’armée de l’air (CEMAA), de M. Pierre Cohen, maire de Toulouse, et de M. Domingo Urena, président-directeur général de Airbus Defence and Space, le ministre a découvert le nouveau nom de cet avion de transport arborant les armes de la ville de Toulouse , et a défini cette cérémonie comme "preuve du souvenir resté intact" de la base aérienne 101 de Francazal, "berceau d’une génération d’aviateurs".

(baptême du 1er A400M MSN7)

Baptême de l'A400M MSN8. - © Armée de l'air


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Cne Michel Croci - Bordeaux-Mérignac (30/01/2014)

30ème anniversaire de la mort du capitaine Croci
(Actualité Armée de l'air)

Mise à jour : 30/01/2014 11:02
Le capitaine Michel Croci, pilote de chasse détaché à N'Djamena lors de l'opération Manta, est décédé le 25 janvier 1984. Cette année marque donc la trentième année de la disparition de cet aviateur mort pour la France, en service aérien commandé.

Leader d'une patrouille mixte Jaguar/Mirage F1, le capitaine Croci effectuait une mission de reconnaissance armée, lorsque son avion a été touché.
En mémoire du pilote, la base aérienne de Bordeaux et le camp d’Abéché, au Tchad, portent son nom.

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Mirage F1 - Lann Bihoué (06/02/2014)

Permanence opérationnelle : clap de fin pour les F1
(Actualité Armée de l'air)

Mise à jour : 05/02/2014 14:18 - Auteur : Adjudant Jean-Laurent Nijean
Le mardi 4 février, les Mirage 2000-5 de l’escadron de chasse 1/2 "Cigognes" ont relevé les Mirage F1 de l’escadron de reconnaissance 2/33 "Savoie" en mission de police du ciel à Lorient, sur la base aéronavale de Lann Bihoué. Cette relève marque le point final de la participation du Mirage F1 à la permanence opérationnelle (PO).


Le capitaine Nicolas Gainand de l’escadron de reconnaissance 2/33 "Savoie", chef du détachement PO, revient sur cette dernière permanence opérationnelle assurée par les Mirage F1 : "Nous avons été émus lors de la réalisation de cette mission opérationnelle qui est en toute probabilité la dernière pour le Mirage F1. En effet, nous n’avons plus d’appareils déployés en opérations extérieures actuellement."
Les pilotes et les mécaniciens du 2/33 "Savoie" se sont successivement relevés sur la base aéronavale depuis le 3 septembre 2013. Des équipes constituées de deux pilotes et de cinq mécaniciens se sont relayées pour cette dernière prise d’alerte de l’escadron.
"Nous avons eu la chance d’être bien soutenus et encadrés par le personnel de la base aéronavale", souligne le pilote de Mirage F1. Le pacha de la BAN de Lan Bihoué a tenu à souligner la dernière permanence opérationnelle du Mirage F1 en remettant à l’escadron de reconnaissance un cadre photo.
La cérémonie officielle pour le retrait programmé du service du Mirage F1 aura lieu 13 juin 2014 sur la base aérienne 118 de Mont-de-Marsan. Le dernier vol de cet avion mythique aurait lieu lors du 14 Juillet. Après avoir participé au défilé aérien au-dessus de l’avenue des Champs-Élysées, il se poserait sur la base aérienne 279 de Châteaudun pour un repos bien mérité.

Retour sur la base de Mont-de-Marsan pour les Mirage F1 de la PO - © Armée de l'air

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