Actualités Armée de l'air 08 (2014)




EPAA - Cognac (11/02/2014)

Rendez-vous le 15 mai 2014 pour les anciens de l'EPAA à Cognac
(Actualité Armée de l'air)

Mise à jour : 11/02/2014 08:15
Le 15 mai 2014, de nombreux anciens de l’école de pilotage de l’armée de l’air (EPAA) sont attendus sur la base aérienne 709 de Cognac-Châteaubernard afin de prendre part à diverses célébrations.

Ce jour-là marquera en effet plusieurs anniversaires. L’EPAA fêtera simultanément les 25 ans de sa patrouille Cartouche doré, les 30 années de service de l’Epsilon TB30, les 30 années de formation des moniteurs simulateur à Cognac, ainsi que les 60 ans de l’escadron 2/12 "Picardie" et les 75 ans de l’escadron 1/11 "Roussillon"
À cette occasion, une cérémonie militaire ponctuera la reprise des traditions de trois prestigieux escadrons de chasse par l’EPAA. En effet, le 1er et le 2e escadron d’instruction en vol (EIV) deviendront respectivement les EIV 1/13 "Artois" et EIV 2/12 "Picardie". L’escadron de formation des instructeurs pilotes (EFIP) deviendra quant à lui l’EFIP 1/11 "Roussillon". Les fanions de ces unités seront remis officiellement aux trois commandants d’unité actuels.
Des démonstrations aériennes, notamment de la patrouille Cartouche Doré, ponctueront cet événement. Enfin, un dîner clôturera cette journée de célébrations sur la base aérienne 709.
De nombreux anciens sont attendus pour l’occasion. Pour participer, contactez le 05 45 32 74 37 ou écrivez à epaa.sec.fct@intradef.gouv.fr.
Réponses souhaitées avant le 25 avril.

Affiche du 15 mai à Cognac - Armée de l'air - © Armée de l'air


TB 30 Epsilon en vol - Vol du champion de saut à la perche, Renaud Lavillénie - © Armée de l'air

Droits : © Armée de l'air


SPA 57 - Dijon (14/04/2014)

Un timbre en l'honneur de Caroline Aigle
(Actualité Armée de l'air)

Mise à jour : 04/04/2014 08:04
Première femme brevetée pilote de chasse dans l’armée de l’air, le commandant Caroline Aigle est décédée brutalement le 21 août 2007, des suites d’une maladie. En 2014, elle aurait eu 40 ans.

Portait de Caroline Aigle réalisé par Pierre-André Cousin, Peintre de l'air. En fond un Mirage 2000-5, appareil sur lequel elle a volé. - © La Poste


À cette occasion, La Poste a choisi de lui rendre hommage en éditant, à son effigie, un timbre de la série "Poste aérienne". Réalisé par Pierre-André Cousin, peintre officiel de l’air et de l’espace, ce timbre tiré à 1,2 million d’exemplaires sera vendu dans certains bureaux de poste à partir du 07 avril 2014, ainsi que par correspondance sur le site www.laposte.fr/timbres et à l’agence Phil@poste Service clients, BP 10106 Boulazac, 24051 Périgueux.
Dès samedi 05 avril 2014, deux points de vente proposent de découvrir cette réalisation en "avant-première". À Paris, Pierre-André Cousin dédicace une série de timbres à partir de 10h00 à la librairie Au Carré d’Encre, 13 bis rue des Mathurins. Simultanément, à Montauban (Tarn-et-Garonne), la Poste ouvre un bureau éphémère, dit "1er jour", au sein du village sportif du marathon de la ville organisé ce même week-end. Pour renforcer son caractère légitime, unique et authentique, ce timbre sera oblitéré du sceau "1er jour – 82 Montauban".
Née à Montauban le 12 septembre 1974, Caroline Aigle effectue sa scolarité dans des lycées militaires avant d’intégrer l’école Polytechnique. En 1997, elle s’engage dans l’armée de l’air et intègre l’École de l’air de Salon-de-Provence. Brevetée pilote de chasse le 28 mai 1999, elle est affectée sur la base aérienne 102 de Dijon, à l’escadron de chasse 2/2 "Côte d’Or", dont elle commande l’escadrille SPA 57 Mouette en 2005. (mis en mémoire )

Voir aussi actualité du 10/06/2017 et du 13/07/2018

Portrait de Caroline Aigle, au grade de capitaine - © Armée de l'air


Droits : © Armée de l'air


ET 88 - Djibouti (24/04/2014)

Remise de fanions à Djibouti
(Actualité Armée de l'air)

Mise à jour : 23/04/2014 08:11
Du 11 au 14 avril 2014, le général Serge Soulet (accès privé), commandant les forces aériennes et le soutien des forces aériennes (CFA/CSFA) s’est rendu sur la base aérienne 188 de Djibouti afin de présider une cérémonie de reprise de traditions de deux escadrilles de la Grande Guerre.

Tout comme les escadrons de chasse, les unités navigantes de transport perpétuent les traditions de l’aviation militaire. La remise des fanions BR 117 et BR 120 à l’escadron de transport (ET) 88 de Djibouti en atteste.
L’ET 88 emploie un avion tactique C 160 Transall et deux hélicoptères SA 330 Puma. Il assure à la fois des missions de sauvetage en mer, le transport de matériel et de personnel, ainsi que des missions de police du ciel et de lutte contre la piraterie.
Ce déplacement fut également l’occasion pour le général Soulet de visiter la base aérienne. Il s’est assuré de son fonctionnement, du niveau d’entraînement et de la préparation opérationnelle des aviateurs. Une démonstration aérienne, mettant en œuvre des moyens français et américains, a permis de montrer la capacité de la base à répondre aux missions confiées par l’état-major des armées.
Les forces des deux nations ont en effet développé d’intenses relations qui permettent une bonne coopération franco-américaine au profit des missions quotidiennes menées depuis Djibouti.

Remise de fanion par le général Soulet  - © Armée de l'air


Visite du général Soulet sur la base aérienne 188 de Djibouti  - © Armée de l'air


Renaissance des BR 117 et BR 120
La transmission des traditions de la BR 117, (Coq bombardier), et de la BR 120, (Croix de Lorraine) au chardon, à l'ET 88 "Larzac" résulte du déploiement successif de ces escadrilles au Levant en 1919 puis à Djibouti en 1933. Les équipages et mécaniciens, pionniers de l'aviation militaire outre-mer de l'entre-deux-guerres, font à cette époque preuve d'une ingéniosité et d'un courage inouïs. Ils développent les capacités de reconnaissances et d'appui de leur Breguet XIV et Potez 25 à des milliers de kilomètres de la métropole et participent activement à la campagne de Syrie dans le Djedel Druze. En 1941, ces escadrilles sont mises en sommeil.

Droits : © Armée de l'air

Voir aussi


CMCC - Athis-Mons (24/07/2014)

Un nouvel insigne pour le CMCC d'Athis-Mons
(Actualité Armée de l'air)

Mise à jour : 15/07/2014 11:21
Le 1er mai 2014, le personnel du centre militaire de coordination et de contrôle (CMCC) 80.920 d’Athis Mons (Essone) a reçu son nouvel insigne homologué sous le numéro A1442.

L’écu bleu à trois fleurs de Lys d’or rend hommage à l’Ile de France. Les trois vecteurs évoquent une patrouille d’aéronefs qui se dirigent vers la Tour Eiffel, symbolisant ainsi la fonction de contrôle. Le réseau sur la partie droite rappelle quant à lui la fonction de surveillance aérienne.
Depuis 1947, des militaires de l’armée de l’air sont présents à Athis-Mons aux côtés des civils pour des missions de coordination et de souveraineté de l’espace aérien national. Véritable interface entre les autorités de défense aérienne et l’aviation civile, le CMCC d’Athis Mons, a contrôlé son premier vol militaire le 10 mars 2014. (pris en compte )

Insigne (A 1442) du CMCC 80.920 d'Athis-Mons  - © Armée de l'air


Définition héraldique :
"Ecu moderne parti-cousu d’azur à une Tour Eiffel au naturel formant la partition, un réseau réticulé d’argent issant du cœur à dextre, trois vecteurs d’or posés en barre à senestre et formés en triangle, trois fleurs de lys du même posées deux aux cantons du chef, une en pointe ".

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ET 82 Maine - Polynésie française (07/05/2014)

L'escadron de transport "Maine" fête ses 50 ans en Polynésie française
(Actualité Armée de l'air)

Mise à jour : 06/05/2014 22:32
Mercredi 23 avril 2014, une cérémonie organisée sur le détachement "air" 190 de Tahiti Faa’a (Polynésie française) a commémoré les 50 ans de l’escadron de transport 82 "Maine". Cet événement fut l’occasion de célébrer le passé d’une des unités navigantes les plus éloignées de métropole.

L’escadron de transport 82 a hérité des traditions du groupe aérien mixte 82 (GAM 82), créé le 1er mai 1964 à Tahiti. Cette unité a elle-même repris les traditions du groupe aérien mixte d’outre-mer 82, dissous quelques années plus tôt à Bamako (Mali). Au cours de ces 50 ans d’existence, l’escadron a répondu à diverses missions de service public, menant notamment de très nombreuses évacuations sanitaires au profit de la population locale, sur les quelque 118 îles de la Polynésie française réparties sur une surface grande comme l’Europe. Équipé actuellement de deux avions Casa, l’unité polynésienne a effectué plus de 220 000 heures de vol en 50 ans sur pas moins de onze types d’aéronefs différents.

Le détachement "air" 190 de Tahiti commémore les 50 ans de l’ET 82 - © Armée de l'air


Les aviateurs devant un Casa [Cn 235 n° 105 (82-IG)] de l'escadron de transport 82 - © Armée de l'air


Droits : © Armée de l'air


Yves Mahé - York (08/05/2014)

La ville anglaise d'York honore l'aviateur Yves Mahé
(Actualité Armée de l'air)

Mise à jour : 07/05/2014 09:30
Vendredi 2 mai 2014, une plaque commémorative a été dévoilée à York (Royaume-Uni) en l’honneur de l’aviateur français Yves Mahé. Célèbre pilote des forces aériennes françaises libres (FAFL), il a aidé à sauver la ville anglaise lors du bombardement de «Baedeker Raids».

L’Ambassadeur de France en Grande-Bretagne, Bernard Emié et le colonel Nicolas Chambaz, attaché de l’air à Londres étaient présents pour cette cérémonie. Des élèves d’une école de la ville étaient invités afin de souligner l’action héroïque de cet aviateur.

La plaque en l’honneur d’Yves Mahé - © Armée de l'air


L’Ambassadeur s’apprête à dévoiler la plaque commémorative   - © Armée de l'air


Un jeune public présent pour cet événement aux cotés des représentants officiels   - © Armée de l'air


"Hurricane!"
Le 29 avril 1942, Yves Mahé, âgé de 23 ans et pilote des FAFL au sein de l’escadrille de chasse 253 de la Royal Air Force, affronte les bombardiers allemands dans son avion de chasse, le Hawker Hurricane avec huit mitrailleuses en action. Lorsqu’il arrive sur la ville de York en feu, il s’attaque immédiatement à un bombardier ennemi, qui s’écrase en flamme. Alors qu’il s’apprête à prendre d’assaut un autre aéronef, les Allemands prennent la décision de fuir.On apprit plus tard que l'arrivée d'Yves sur place fut d’un précieux secours. En effet, une partie de l'usine principale de Rowntrees (Royaume-Uni), était remplie d’explosifs extrêmement puissants. Si les Allemands avaient effectué l’attaque initialement planifiée sur l'usine, la destruction de York aurait été totale. Plus tard le général de Gaulle décora l’aviateur de la Croix de Guerre.
Yves a rejoint l'armée de l'air française en 1939. Après l’annonce de l'Armistice en juin 1940, il a dérobé un avion, et malgré la menace d'une exécution, il rejoignit, avec d'autres aviateurs français, Gibraltar, puis la Royal Air Force pendant les jours sombres de la Bataille d'Angleterre. Après cette victoire, il continua à voler avec les escadrilles françaises se battant avec l'armée de l'air soviétique. Son appareil fut abattu en août 1944. Capturé par les Allemands et condamné à mort, il vécu caché dans un camps de prisonnier. Un an plus tard, il s’en échappe et rejoint la France. Il continua a servir dans l’armée de l’air française jusqu'au 29 mars 1962, date à laquelle il fut tué dans son avion, le Gloster Meteor NF11. Il avait alors 42 ans.

Droits : © Armée de l'air


Patrouille de France - Salon-de Provence (014/05/2014)

Bienvenue aux nouveaux parrains de la PAF
(Actualité Armée de l'air)

Mise à jour : 13/05/2014 09:35
Le 7 mai 2014, la Patrouille de France (PAF) située sur la base aérienne de Salon-de-Provence a accueilli ses nouveaux parrains: les spationautes Jean-Loup Chrétien et Patrick Baudry.

Tous deux ont débuté leur carrière en qualité de pilotes de chasse, après avoir été formés à l'École de l'air. Premiers cosmonautes français, Jean-Loup Chrétien et Patrick Baudry ont ainsi toute la légitimité pour représenter la communauté des aviateurs de l'armée de l'air.Les deux nouveaux parrains se sont pliés à la coutume et ont volé pour la première fois avec la PAF. Jean-Loup Chrétien était placé derrière Athos 7, le capitaine William Leroy, tandis que Patrick Baudry embarquait derrière Athos 5, le capitaine Vincent Plantier.Après cette expérience au cœur de la Grande Dame, les spationautes ont confié : "obsédés par la perfection, nous sommes impressionnés de découvrir le degré d'excellence atteint par la PAF et de voir que rien n'a changé: l'esprit de solidarité et d'amitié qui font la force de tous les aviateurs sont bien présents !"

Jean-Loup Chrétien, premier français à effectuer une sortie dans l'espace
Entré à l'École de l'air en 1959, il fait ses premières armes sur Mirage III et Mirage F1. En 1980, il est sélectionné comme spationaute au CNES (centre national d’études spatiales). Après un entraînement de deux ans à la cité des étoiles à Moscou, il réalise son premier vol habité à bord de la station Saliout 7 du 25 juin au 2 juillet 1982. Il effectue son second vol en tant que cosmonaute du 26 novembre au 21 décembre 1988, à bord de Soyouz T M-7 où il procédera à une sortie extravéhiculaire de 5h57 depuis la station MIR. Affecté à la NASA à Houston, c'est en qualité d'astronaute qu'il procèdera à son troisième vol à bord de la navette américaine Atlantis avec amarrage à la station MIR, du 25 septembre au 5 octobre 1997.
Jean-Loup Chrétien, dispose de plus 10 000 heures de vol à son actif.

Patrick Baudry, un pilote émérite
Patrick Baudry est entré à l'Ecole de l'air en 1967 et vole sur F100 Super Sabre et Jaguar avant d'être affecté à son tour à la cité des étoiles en compagnie de Jean-Loup Chrétien dès 1980. Il est membre du second équipage pour le premier vol franco-russe en 1982.Il rejoint le corps des astronautes à la NASA en 1984 afin de préparer le premier vol franco-américain à bord de la navette Challenger. Il effectue son premier vol en qualité d'astronaute à bord de la navette Discovery du 17 au 24 juin 1985.
Pilote émérite, Patrick Baudry totalise plus de 15 000 heures de vol sur quelques 400 machines différentes.

Jean-Loup Chrétien et Patrick Baudry au côté du leader de la PAF - © Armée de l'air


Jean-Loup Chrétien et Patrick Baudry posent avec les pilotes de la PAF - © Armée de l'air


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Romain Gary - Groupe Lorraine (017/05/2014)

Il y a 100 ans naissait Romain Gary, écrivain-combattant
(Actualité Armée de l'air)

Mise à jour : 15/05/2014 14:27
Romain Gary aurait eu 100 ans le 8 mai 2014. La célébration du centenaire de sa naissance constitue l’occasion de revenir sur la carrière d’un des plus célèbres écrivains français, ayant marqué de son empreinte l’histoire littéraire et militaire de la Nation.

Si Romain Gary est resté célèbre pour sa carrière littéraire (il remporte le prix Goncourt à deux occasions en 1956 et en 1975), peu savent qu’il se destinait avant tout à un engagement dans l’aviation militaire et qu’il fut un illustre navigateur des Forces aériennes françaises libres (FAFL).
Né Romain Kacew, cet illustre aviateur prend le nom de Gary au moment de son engagement durant les combats de la Seconde Guerre mondiale. Il totalise 25 missions offensives et plus de 65 heures de vol en missions de guerre. Décoré de la Croix de guerre par le général de Gaulle en janvier 1944, il est fait Compagnon de la Libération le 20 novembre de cette même année.
À l’occasion des 100 ans de sa naissance, retrouvez ici (lien périmé) le message adressé par M. Kader Arif, secrétaire d’État aux Anciens Combattants et à la Mémoire, ainsi qu'une biographie complète publiée sur le site de l'Ordre de la Libération.

Droits : © Armée de l'air
  L'écrivain-combattant Romain Gary, à droite sur la photo
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EPAA - Cognac (20/05/2014)

La base aérienne de Cognac en fête
(Actualité Armée de l'air)
Mise à jour : 20/05/2014 09:26

Jeudi 15 mai 2014, la base aérienne 709 de Cognac a célébré plusieurs anniversaires, ainsi que les reprises de traditions pour trois escadrons.

Cette journée aéronautique a été présidée par le général Antoine Creux, major général de l’armée de l’air. Elle a débuté par une cérémonie célébrant les 30 ans de la mise en service de l’Epsilon TB 30 dans l’armée de l’air. L’année 2014 marque également le 30e anniversaire de la création de l’école de formation des moniteurs simulateurs et les 25 ans de la patrouille "Cartouche Doré".
Le fanion de l’escadron 1/13 "Artois" a été remis au premier escadron d’instruction en vol (EIV). Ceux du 2/12 « Picardie » et du 1/11 "Roussillon" ont été respectivement confiés au deuxième EIV et à l’escadron de formation des instructeurs pilotes. "En reprenant les traditions de ces trois escadrons et de leurs escadrilles, qui se sont notamment illustrés en Indochine, en Afrique et au Moyen-Orient, vous ferez revivre leurs traditions, vous mettrez vos pas dans ceux de vos anciens et vous inscrirez, à votre tour, de belles pages de l’histoire de ces prestigieuses unités" a déclaré le général Creux.
Ce fut également l’occasion de baptiser l’école de pilotage de l’armée de l’air du nom de général Pierre Jarry, pilote qui incarnait pleinement les valeurs partagées des aviateurs : Respect, Intégrité, Service, Excellence.
L’après-midi s’est achevé par des démonstrations aériennes de l’équipe de voltige de l’armée de l’air et de la patrouille "Cartouche Doré". (pris en compte )

Ordre du jour

Le général Creux remet le fanion de l'EFIP 1/11 "Roussillon" - © Armée de l'air


Trois autres fanions remis sur la base aérienne de Cognac : ceux de l'EIV 2/12 "Picardie" et de deux de ses escadrilles - © Armée de l'air



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EC 2/4 La Fayette - Paris (28/05/2014)

Le Memorial Day célébré à Marnes-la-Coquette
(Actualité Armée de l'air)
Mise à jour : 28/05/2014 09:56

Samedi 24 mai 2014 à 11h00, le général Patrick Charaix, commandant des forces aériennes stratégiques, a présidé la cérémonie commémorative au Mémorial de l’escadrille "La Fayette" à Marnes-la-Coquette (Hauts-de-Seine). Après l’accueil des autorités militaires et civiles, un défilé aérien, composé de quatre Mirage 2000 N de l’escadron de chasse 2/4 "La Fayette" a survolé le monument.

Traditionnellement, le Memorial Day, ou jour du souvenir, est célébré chaque année aux États-Unis, lors du dernier lundi du mois de mai. Historiquement, ce jour était dédié à la mémoire des hommes et des femmes qui périrent lors de la guerre de Sécession, de 1861 à 1865. Au XXe siècle, la commémoration a été élargie à l'ensemble des Américains, qui ont perdu la vie lors de faits militaires.
Le mémorial français de Marnes-la-Coquette honore la mémoire de cette escadrille historique américaine "La Fayette", constituée en 1916 sous commandement français, afin d'aider la France lors de la Première Guerre mondiale. Depuis 1918, l'escadron de chasse 2/4 "La Fayette" a repris le flambeau de l'historique escadrille au sein de l'armée de l'air.
Ce samedi, à Marnes-la-Coquette, l'amitié franco-américaine a vibré une nouvelle fois grâce à la participation des aviateurs, afin de perpétuer la mémoire des disparus.

Cérémonie commémorative au Mémorial de l’escadrille «La Fayette» - © Armée de l’air



Le Memorial Day célébré à Marnes-la-Coquette - © Armée de l’air
(Ndlr : présence symbolique du fanion de la N 124)


Cérémonie commémorative au Mémorial de l’escadrille «La Fayette» - © Armée de l’air


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