Contributions page 18


1914 1918 - Pierre-François Mary (19/02/2011)

Contribution effacée suite au remplacement des pages "escadrilles1914_1918.htm" et "escadrilles1918_1920.htm" par une nouvelle version "aviation_militaire1914_1918. htm du mêm auteur : Pierre-François Mary.









































GC "Corse" - Alain Campo (22/02/2011)

Je te transmets deux insignes :
- G.R 1/33 Belfort (1945, antérieur à celui avec le cercle qui figure sur ta page.)
- B.A Laghouat.

Quelques précisions quant au G.C "Corse" :
- j''ai lu la retranscription du journal de marche du groupe en Indochine. Les 2 échelons partis de Rabat en début janvier 1947 sont opérationnels le 20 janvier ; ils sont déjà équipés de Mosquitos (15 en Indo basés à Than Son Nhut)
- Effectuant des missions de bombardement et straffing, le groupe rentre à Rabat le 1er juin 1947 (4 mois 1/2 de campagne)
- D'autre part et pour d'autres infos en attente sur ton site, le groupe fait mention à son arrivée en Indo de la présence du 1 et 3/2 qui l'acceuille ; le 3/2 migrant vers Nha Trang (équipés de Spit).





































Laghouat - Jean-Paul Bonora (02/03/2011)

La base de Laghouat n’a pas eu de numéro. Sa dénomination était “B.A.S. de Laghouat “ (Base aérienne secondaire?) et/ou “D.T.O 37/540” (Détachement de Terrain Opérationnel ou d’Opérations suivant les sources). (pris en compte )

GB II/25 - Jean-Paul Bonora (07/05/2011)

Je recherche la signification de ce symbole figurant sur une enveloppe au tampon du GB 2/25,et quel rapport avec ce groupe de bombardement, expédiée de Tunis-El Aouïna, le 17/02/1942.
Par avance, merci.



(Ndlr) Il est à noter l'importance accordée aux oreilles de ce personnage mythologique ailé associées à ce que l'on pourrait interpréter comme des ondes électromagnétiques radio. Peut-être un symbole pour évoquer une mission (ou une expérimentation) spécifique à ce groupe de bombardement. Il est à noter, également, qu'il est écrit "Groupe de Bombardement 2/25" et non "Groupe de Bombardement II/25

(Réponse JP Bonora) Là où tu vois des oreilles, je ne devine que la chevelure mi-longue et frisée d'un être androgyne, peut-être un ange protecteur. Les "ondes" autour de sa tête matérialiseraient l'aura du personnage. Peut-être une retranscription "vichystement" correcte du scarabée égyptien du G.B. II/25 qui est symbole entre-autre de renouveau.
Pour "2/25", je pensais plutôt à une faute d'imprimerie, à moins qu'il n'y ait eu des changements dans l'écriture des n° de groupe à cette période?. Je ne suis pas bien documenté sur le sujet. Bref ! ce ne sont que des élucubrations, espérons l'intervention d'un spécialiste de la période.






















Insigne à identifier sur Nieuport 24 - Guy Rufray (03/03/2011)

A propos de l'insigne à identifier sur l'avion du sgt Jullian; il me semble qu'il ne s'agit pas d'une feuille de trèfle mais plutôt d'une fleur (peut-être une pensée). Je pense à un insigne personnel puisque d'après sa fiche SGA, Raymond Jullian était à cette période à la N89.
L'avion est un Nieuport 17 et non pas un 24.
Jusqu'au Nieuport 23 les avions ont un fuselage à flancs plats (sauf le Nieuport 17bis). A partir du Nie 24 (+ le Nie 17bis) les flancs du fuselage sont arrondis. (pris en compte )








































Insigne à identifier - Yves Genty (27/03/2011)

[...]je viens t’apporter ce qui pour moi est une énigme, ci-joint une photo, que j’ai placée dans mon site aux tous débuts [...] mais sans aucune explication autre que la période 39.40, elle représente une dérive de MS406 arborant une peinture avec les insignes des SPA 3, 57, 83 et 100 assemblage qui n’apparait pas dans tes filiations de la 2e EC entre 39 et 40. Est-ce que cela t’inspire ou peut te donner un chainon manquant ? [...]

(Rdlr) Concernant la photo, je la connais bien (ci-joint une meilleure définition (publiée avec l'autorisation du SHD-Air : référence lettre n°1013/DEP/SGA/DMPA/SHD/DAA/CDT du 13 juin 2006) ... Je ne l'avais pas affichée jusqu'à présent par manque d'informations.
Il faut savoir que les groupes sont devenus autonomes à compter du 1er mai 1939.
Sur cet insigne composite, il y a représentation d'une escadrille du GC I/2 (SPA 3), d'une escadrille du GC II/2 (SPA 57), des deux escadrilles du GC III/2 créé le 1er janvier 1939 (SPA 83 et SPA 100) ... mais absence de la SPA 103 et de la SPA 65.
Cette photo a été prise à la suite des premiers combats de la Bataille de France (présence du soldat allemand).
(donc pas d'explication logique pour le moment )

Complément d'informations de Matthieu Comas (07/11/2014)



EAA 1/21, 1ère unité de chasse basée à Djibouti - Frédéric Domblides (05/04/2011)

je me permets de vous transmettre quelques notes relevées au sujet de l'Escadron d'Aviation d'Appui 1/21, dont vous ne semblez pas faire mention sur votre site.
l'EC 1/20 "Aurès-Nementcha" fut dissous à Boufarik le 30 septembre 1963 et recréé le 10 octobre suivant à Djibouti en tant qu'EAA 1/21 (avec conservation des traditions, de l'insigne et du matériel) équipé de 12 chasseurs-bombardiers Douglas AD-4 "Skyraider" dont les premiers exemplaires sont arrivés sur place dès le 23 mars précédent.
Sa mission se résume à mener des patrouilles aériennes armées, à prendre part aux manoeuvres interarmées et à effectuer des campagnes de tir annuelles à Madagascar.
En septembre 1968, l'unité détache 4 de ses appareils à Faya-Largeau (Tchad) : missions de police, d'observation et d'éclairage.
Ce Détam est relevé par l'ELAA 1/22 "Ain" en avril 1969.
Le vieillissement des appareils et, surtout, les tensions politiques locales vont pousser l'EMAA à renforcer les moyens de la chasse : l'EAA 1/21 est dissous le 31 décembre 1972, remplacé à compter du 1er janvier 1973 par l'EC 4/11 "Jura", recréé pour l'occasion sur F-100.D et F-100.F "Super-Sabre".
Je crois me souvenir que ces notes sont extraites d'un article de presse publié dans les années 90. je vous en retrouverai les références exactes si vous le souhaitez. (pris en compte )

EAA 1/21, 1ère unité de chasse basée à Djibouti - Frédéric Domblides (07/05/2011)

L'article concernant l'EAA 1/21 est paru dans le n°9 d'Air Action de juillet 1989 (si vous ne pouvez vous le procurer, je peux vous en faire parvenir un scan).
Par contre, comme vous pourrez le lire, les auteurs laissent entendre que l'EAA 1/21 a bel et bien conservé le nom de son aîné.

(Ndlr) Merci pour ces précisions supplémentaires.
J'ai le n° 9 d'Air Action (je vous remercie).
Concernant l'appellation "Aurès Némentcha", effectivement selon la légende au bas de la page 9, on pourrait penser qu'elle a été conservée. Ce n'est pas aussi net au bas de la page 11 :
"Le 30 septembre 1963, l'escadron de chasse 1/20 "Aurès Némentcha" stationné à Boufarik (Algérie) est dissous pour être recréé le 10 octobre suivant sur la BA 188 comme Escadron d'Aviation d'Appui 1/21 ; il conserve ses traditions et ses chasseurs-bombardiers Douglas AD-4 ..."
En reprenant le Hors-série Air Fan "Les Skyraider dans l'Armée de l'air" d'octobre 2007 et où l'EAA 1/21 est présenté des pages 40 à 55 (je suis impardonnable), l'auteur Jean-Louis Gaynecoetche est formel en page 40 :
" ...la nouvelle unité, l'EAA 1/21, vit le jour le 1er octobre 1963 sur les cendres de l'EC 1/20 ~ dissous la veille ~ dont elle conservait l'insigne et les traditions sans en retenir le nom de baptême".

36e Groupe d'Aviation - Frédéric Domblides (15/05/2011)

[...] Je reviens vers vous, histoire de vous apporter quelques éléments concernant les origines du 36e Groupe d'Aviation et sur son évolution. En vous transmettant ces renseignements, j'espère créer un débat avec certains de vos lecteurs intéressés par cette unité.

Une première escadrille est formée à Pau dès 1919-1920. Selon les sources, on lui prête plusieurs origines et différentes appelations qu'il est difficile d'authentifier. cependant :
* l'hypothèse avançant qu'elle est escadrille détachée du 1er RO de Tours est à réfuter : l'étude de ce régiment et de sa composition ne laisse aucun doute à ce sujet (Cf Didier Lecoq). Du coup, les dénominations "31e Groupe Aérien Autonome" ou "31e Groupe Aérien Autonome" sont aussi à mettre en doute.
* courant 1921, le Chef de Bataillon de Galard Terraube est affecté à Pau pour prendre le commandement de cette escadrille isolée. Il semble qu'à cette époque elle soit déjà dénomée "36e Groupe d'Aviation" (source familiale. J'attends de pouvoir consulter son dossier à Vincennes).

En juillet 1923, au moment de la création du 36e Groupe d'Aviation, cette escadrille devient 11e (première de rang) et seule escadrille. Là encore, certaines sources donnent un "36e GAO"; mais ce point semble éronné pour deux raisons : aucune source officielle ne l'atteste, et les GAO ne feront leur apparition que bien plus tard.
Courant juillet 1923 est formée sur place la 12e escadrille (deuxième de rang).
La 13e escadrille est affectée à Pau en (juillet?) 1924.
D'après un article paru dans l'Air Actualités n°626 de novembre 2009, elle aurait été 51e escadrille du Levant, englobée au Corps d'occupation de Constantinople créé au premier semestre 1920 et dissous fin 1923.
D'après les recherches effectuées par Didier lecoq sur les carnets de vol des Ltt Labsolu et Gautier, chefs de la Br.509 sur la période 1919-1920, la Br.509 et la 51e escadrille du Levant (ou Br.51, suivant la numératation relevée sur les insignes d'appareils et de poitrine) ne sont qu'une seule et même escadrille. Sauf erreur, son "Sphinx assis" est adopté peu après son installation à Pau.
La 4e escadrille est affectée à Pau en 1932, ex. Vr.559 créée fin 1918 au Maroc (Cf JMO de l'Aéronautique au Maroc), devenue 6e escadrille du 1er RO de Tours en janvier 1920, elle ne semble pas avoir d'existence physique avant son affectation comme 56e escadrille du Levant (Br.56) au 2e trimestre 1920. Son insigne originel, le "vautour planant dans un disque bleu" est remplacé au Levant par le "rapace volant dans un croissant rouge".
Lors de son affectation au 36e GA, l'escadrille semble reprendre son insigne originel (attesté par le fanion de groupe conservé à Avord par l'escadron Berry de la 36e EDCA). Ce n'est que courant 1936 qu'elle reprendra son "rapace volant dans un croissant rouge".

Courant 1932, en prévision de la création du rang d'escadre, le 36e groupe est réorganisé (d'après une décision ministérielle que je cherche encore!) :
* la 11e escadrille "canard attaché à un boulet" relève les traditions de la Br.257 "main gantée à la masse d'arme" afin de devenir 4e escadrille du futur GO II/36
* la 12e escadrille "poule déplumée" relève les traditions de la Br.58 "coq fier" afin de devenir 1re escadrille du futur GO I/36
* la 13e escadrille "Sphinx assis" relève les traditions de la Br.253 "Bouledogue" afin de devenir 3e escadrille du futur GO II/36
* la 14e escadrille "rapace volant dans un croissant rouge" relève les traditions, sans reprise de l'insigne, de la Br.43 "fer à cheval" afin de devenir 2e escadrille du futur GO I/36. il semblerait que le "refus" de l'insigne soit dû à son personnel.
Au 1er octobre 1932, la 36e escadre d'observation (Lcl Le Bihan) est donc composée de la façon suivant :
* GO I/36: Sal.58 / Br.43
* GO II/36: Sal.253 / Br.257
En 1938 (1er janvier?), l'escadre est transformée en 36e Escadre de Renseignement.
En avril 1939, l'escadre est dissoute, les deux groupes GR I/36 et GR II/36 gagnant ainsi leur indépendance.

Voilà tout ce que je peux vous exposer à ce jour sur cette unité. je travaille encore a essayer de retrouver l'ensemble des pièces me permettant de valider cet historique.
je dispose de photos des insignes et des fanions du 36e GA que je peux vous transmettre pour étayer ce message. [...]



36e Groupe d'Aviation (suite) - Frédéric Domblides (15/06/2011)

M. Lecoq m'a fait parvenir la copie du carnet d'emploi du temps ouvert en août 1920 de l'observateur Victor Lasalle, alors qu'il était affecté à la Br.509 de San Stefano (Turquie).
Les tampons apposés par les différents chefs de l'escadrille (Ltt Labsolu, Ltt Gautier) ne laissent aucun doute : la 509 est devenue Br.1 puis Br.51.
D'après "les armées françaises en Orient après l'armistice de 1918" du Gal Bernachot :
- le Corps d'Occupation de Constantinople (06.11.1918 / 06.09.1923) n'a disposé que d'une seule escadrille: la 51e / 5e RO, aussi dénommée Br.51 dans certains CR officiels, affectée à San Stefano sur toute la période d'existence du Corps,
- le service aéro rattaché au COC a compté : l'escadrille, un parc d'aéronautique, un atelier de maintenance et un service météo,
- par DM n°7529-1/11 du 02.08.1923, elle est affectée à Pau,
- l'escadrille est embarquée à destination de Marseille en 4 fois: les 06, 10 et 26 septembre, et le 1er octobre 1923.
On peut donc raisonablement penser qu'elle est définitivement installée à Pau fin octobre-début novembre 1923, où elle devient 13e escadrille (3e de rang) du 36e GA. (pris en compte )








































Escadrille AOF n°1 - Olivier Baillon (18/04/2011)

J'ai trouvé cette photo, au dos il est écrit : BAMAKO ESC N°= 1
L'insigne peint sur la carlingue ressemble à un criquet.

(Rdlr) Précieux envoi qui valide les informations apportées par Gilbert Ladarré concernant les escadrilles AOF (numérotation) et surtout une image beaucoup plus précise de cet insigne jusqu'alors inconnu.





B 17 "Bir Hackeim" GLAM - Jean-François Blériot (15/04/2011)

[...] mon père ayant été militaire dans la Premiere Armée, nous avons passé 10 ans en occupation en allemagne et dans les années 1952/53 nous étions à Bad-Godesberg et là nous étions souvent avec l'équipage du "Bir Hackeim" sur lequel, lorsque je n'avais pas école, je profitais des vols programmés sur Paris ou là ou mes photos ont été prises, à "Niedermendig" ou nous allions faire les pleins. Sinon l'avion était basé sur le terrain Anglo-Belge de Bonn ou j'étais aussi souvent. Je vous joins donc ces photos ou l'on peut reconnaitre le commandant de bord Bouguereau, Lagatu, Brugel, entre-autres ainsi que mon père en gabardine. Moi pendant ce temps j'étais avec les militaires qui s'occupaient des pleins. [...]





Deux autres photos : la première prise à "Niedermendig" l'autre est une photo du même avion mais lorsqu'il était encore dans la 8eme Air Force sous le nom de "Charlène" , un éclat dans la vitre du co-pilote.






Drapeau de dérive inversé - Claude Bluteau (14/05/2011)

Certaines silhouettes d'avion, vue du flanc Droit, ont le drapeau français inversé, rouge vers l'avant au lieu du bleu. Voir les silhouettes des F-84F 4-UO et 1-NX.

(Ndlr) Bien vu : Bleu Blanc Rouge ? Rouge Blanc Bleu ? Réalité ? erreur du réalisateur des "profils" ? (question posée à Patrice Gaubert)

(Réponse Patrice Gaubert) [...] Monsieur Bluteau a l'oeil affuté ! Et il a raison de relever ce détail, c'est une erreur de ma part. Tu peux donc le signaler sur le site, en disant que le dessinateur a été durement châtié ! [...]









































Insigne singulier de la 12ème Escadre de Chasse - Daniel Szymanski (18/05/2011)

[...] Ci joint en scan d'un insigne de la 12° escadre de chasse, vous pouvez voir que celui-ci est plus grand et les noms des escadrilles inversés par rapport à celui de votre site [...]



(Ndlr) Il est bon d'attendre quelques avis avant de l'adopter.

15/06/2015 : informations nouvelles

























EARS 99 - Michel Berthelot (12/05/2011)

[...]Faisant une petite visite sur votre site, j'y relève une petite anomalie me semble t il.
A propos de l'EARS 99 (je constate que mon camarade F de Richemond [...] vous a transmis cette très belle photo du F- ZY). En outre je relève la présence d'un Beechcraft, lequel n'a pas appartenu à l'Escadron.[...]

(Ndlr) Je prends bonne note de votre remarque concernant le Beechcraft n° 1462 (99-KA). Mais alors, comment expliquer l'immatriculation 99-KA ?

(Réponse) Simple coïncidence. Membre du personnel navigant de l 'Armée de l'Air, j'ai été affecté à (à l'époque : Escadrille Aérienne de recherches et de sauvetages N° 99) à Alger Maison-Blanche, c'était en 1959, et sortait de l'école des radios navigants de Fès (Maroc).
Je suis donc resté à l'EARS 99 de 1959 à 1963. Les avions d 'Arme étaient le BL161 " Languedoc " et un N 2501 affecté par Orléans ou Toulouse.
Entre temps le BL161 a été remplacé par le L749 "Constellation".
J'ai quitté l ' EARS de 1963 à 1965 pour une affectation au Sénégal pour le réintégrer en 1965 jusqu'à sa dissolution fin1969.
Il n'y a pas eu d'autres appareils affectés à cet Escadron. Il y a tout lieu croire que vous avez été abusé par cette immatriculation sur le Beech. En tout état de cause cela n'enlève rien à la qualité de votre travail. Je vous en félicite et vous remercie.
Bien cordialement.
Michel Berthelot (à l 'origine de la réalisation du site EARS 99 en très étroite collaboration avec Hervé BRUN du site "Cocardes.com" pour son savoir faire).

(Réaction Guy Rufray) A propos du Beechcraft Expeditor 3 N (et non pas C-45) n° 1462. Dans la revue Le Trait d'Union, Bernard Chenel donnait cet avion comme ayant appartenu à l'EARS 99 du 25.06.69 au 11.02.70 avec le code 99-KA.