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 ERV 
    4/31 Sologne
  - Istres 
      (08/02/2020) 
 
 
       
        | Nouvel habillage des dérives des C-135 d’Istres 
 Mise à jour : 29/01/2020 - Direction : Armée de l'air
 Les mécaniciens de l’escadron de soutien technique spécialisé (ESTS) 
          de la base aérienne (BA) 125 d’Istres, en charge de la maintenance de 
          la flotte C-135, ont commencé à poser le nouvel insigne sur les dérives 
          des ravitailleurs, dont le premier est sorti du hangar le mercredi 8 
          janvier 2020.
 
 À l’occasion de la cérémonie commémorative sur la base aérienne 113 
          de Saint-Dizier en octobre dernier célébrant les 20 000 jours d’alerte 
          nucléaire tenus par les Forces aériennes stratégiques, le groupe de 
          ravitaillement en vol 2/91 "Bretagne" est devenu l’escadron 
          de ravitaillement en vol 4/31 "Sologne"
  . 
 Ainsi, ce nouvel insigne
  , 
          élaboré par l’escadron de soutien des matériels d’environnement de la 
          BA 125, sera posé sur tous les C-135  au gré de leur passage en visite d’entretien à l’ESTS. 
 
  Nouvel 
          habillage des dérives des C135 d’Istres - Crédit : © Alain Courtillat 
          / Armée de l'air 
   
 
  Nouvel 
          habillage des dérives des C135 d’Istres - Crédit : © Alain Courtillat 
          / Armée de l'air 
  
 
  Nouvel 
          habillage des dérives des C135 d’Istres - Crédit : © Alain Courtillat 
          / Armée de l'air 
  
 
  Nouvel 
          habillage des dérives des C135 d’Istres - Crédit : © Alain Courtillat 
          / Armée de l'air 
  
 Sources : Armée de l'air
 Droits : © Armée de l'air
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 ET 2/61 Franche-Comté
  - Orléans 
      (09/02/2020) 
 
 
       
        | La base d’Orléans reçoit son deuxième Super Hercules 
          KC-130J 
 Mise à jour : 07/02/2020 - Direction : Armée de l'air
 Le 7 février 2020, le deuxième avion KC-130J, version ravitailleur 
          du Super Hercules C-130J, a atterri sur la base aérienne 123 d’Orléans-Bricy.
 
 Fabriqué par Lockheed Martin, cet appareil est le dernier des quatre 
          Super Hercules C-130J commandés, en janvier 2016, par la Direction générale 
          de l’armement (DGA). Les deux premiers avions de cette série, des C-130J-30 
          (version longue du C-130J)
  , 
          ont été livrés en 2017 et 2018. Le premier avion ravitailleur KC-130J  a, quant à lui, été réceptionné en septembre 2019. 
 L’acquisition de cette flotte de C-130J Super Hercules a pour but de 
          renforcer les capacités de transport tactique de l’Armée de l’air, en 
          complémentarité avec les autres flottes composées de C-130H Hercules
  , 
          de C 160 Transall  et de CN-235 Casa  . 
          Alors que ces appareils sont très sollicités en opérations extérieures, 
          notamment dans la bande sahélo-saharienne, l’acquisition de deux KC-130J 
          va soutenir efficacement l’activité opérationnelle dès courant 2020. 
 Ces deux KC-130J offrent à l’Armée de l’air une capacité unique en Europe. 
          En permettant le ravitaillement en vol des hélicoptères H225M Caracal
  , 
          elle permet une plus grande allonge et une permanence accrue. Ils seront 
          mis en œuvre par l’escadron de transport (ET) 2/61 "Franche-Comté"  de la base aérienne 123 d’Orléans-Bricy déjà dotée des deux C-130J-30. 
 Ces quatre C-130J ont vocation à rejoindre la base aérienne 105 d’Évreux
  d’ici l’été 2021. Ils seront mis en œuvre aux côtés de six Super Hercules 
          allemands au sein d’une unité binationale franco-allemande. 
 (Ndlr)  19 septembre 2019 - Arrivée 
          du 1er KC 130 J n°5874 (61-PQ)
  (Ndlr)  15 
          janvier 2018 - Arrivée du 1er C 130 J 30 n°5836 (61-PO)
  
 
  07-02-2020 
          -Arrivée du KC-130J Super Hercules n°5890 (61-PR) à 
          l'ET 2/61 Franche-Comté à Orléans (1) - Crédit : © Emma Le Rouzic - Armée de l'air 
  
 
  07-02-2020 
          -Arrivée du KC-130J Super Hercules n°5890 (61-PR) à 
          l'ET 2/61 Franche-Comté à Orléans (2) - Crédit : © Emma Le Rouzic - Armée de l'air 
  
 
  07-02-2020 
          -Arrivée du KC-130J Super Hercules n°5890 (61-PR) à 
          l'ET 2/61 Franche-Comté à Orléans (3) - Crédit : © Emma Le Rouzic - Armée de l'air 
  
 Sources : Armée de l'air
 Droits : © Armée de l'air
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 BA 107 
    - Villacoublay 
      (27/02/2020)
 
 
 
       
        | La cérémonie d’adieu aux armes du général de corps 
          aérien (GCA) Olivier Taprest 
 
  Mise 
          à jour : 05/03/2020 - Direction : Armée de l'air Le 27 février 2020 a eu lieu la cérémonie d’adieu aux armes du général 
          Olivier Taprest, major général de l’armée de l’air (MGAA), sur la base 
          aérienne 107 "sous-lieutenant Dorme" de Villacoublay. Cette 
          cérémonie a été présidée par le général Philippe Lavigne, chef d’état-major 
          de l’Armée de l’air (CEMAA).
 
 La cérémonie a débuté par la revue des troupes du général Philippe Lavigne
  et du général de corps aérien Olivier Taprest, accompagnés du colonel 
          Fabrice Albrecht, commandant la base aérienne 107 "Sous-lieutenant 
          Dorme" de Villacoublay  . 
          "Tu quittes le service actif au terme d’un parcours remarquable 
          au sein de l’Armée de l’air, que tu as fidèlement servi pendant plus 
          de 35 ans. Et mon émotion est évidemment particulière aujourd’hui, puisque 
          tu es mon adjoint direct depuis ma prise de fonction il y a bientôt 
          deux ans et que le rôle que tu as joué à mes côtés a été particulièrement 
          précieux. C’est l’ensemble que ton parcours qui est en tous points remarquable 
          et sur lequel je vais bien-sûr revenir pour te rendre cet hommage très 
          largement mérité", a prononcé le CEMAA. . 
 Un parcours remarquable
 Élève officier de la promotion 1984 "Général Guernon"
  de l’École de l’air, Olivier Taprest est breveté pilote de chasse en 
          1988. Il poursuit sa carrière à Dijon au sein de l’escadron de chasse 
          1/2 Cigognes  , 
          où il est certifié chef de patrouille en 1992. Il devient commandant 
          des forces françaises en Afghanistan et de l’aéroport militaire international 
          de Kaboul en 2013. Aussi, il occupe le poste de chef du cabinet militaire 
          du Premier ministre du 14 août 2014 au 1er septembre 2016. Enfin, il 
          prend la tête du commandement de la défense aérienne et des opérations 
          aériennes (CDAOA) sur la base aérienne 942 de Lyon-Mont Verdun  avant d’être nommé Major général de l’Armée de l’air. 
 Un officier dévoué
 Le CEMAA n’a pas manqué de souligner les qualités et les succès du général 
          Taprest en fonction : "L’Etat-major de l’Armée de l’air (EMAA) 
          est sous ta direction, pleinement immergé dans ses travaux, et contribue 
          notamment sous ton impulsion à la rédaction de la Revue Stratégique 
          (…). Par ailleurs, tu portes le dossier de la Loi de Programmation Militaire 
          avec élan et détermination, en défendant notamment les priorités alors 
          énoncées par le CEMAA dans le cadre de ces travaux, à savoir l’aviation 
          de chasse, le ravitaillement en vol ou encore les effectifs, sujets 
          qui continuent d’être au cœur de nos préoccupations aujourd’hui. Et 
          d’ajouter : L’activité et la préparation opérationnelle des Aviateurs, 
          l’action déterminante dans la conquête de ressources humaines, la modernisation 
          de l’Armée de l’air avec le SCAF(*) et 
          l’espace, sont autant de dossiers qui participent à l’image d’un officier 
          dévoué et respecté. Je peux témoigner de ton intégrité, de ta détermination 
          et de ton attachement très fort aux valeurs militaires. De tout ceci 
          je voudrais te remercier chaleureusement, à mon niveau, au nom de l’armée 
          de l’air, des armées, et tout simplement de la France !", a 
          conclu le chef d’État-major de l’Armée de l’air.
 
 Sources : Armée de l'air
 Droits : © Armée de l'air
 
 (*) SCAF = Système de Combat Aérien du Futur
 |  
 SPA 65
  -  
      (27/03/2020) 
 
 
       
        | Hommage à Jean-Marie Saget 
 
  Mise 
          à jour : 26/03/2020 - Direction : Armée de l'air Nous rendons hommage à Jean Marie Saget, pilote passionné qui aura 
          dédié sa vie à l'aéronautique, à son développement et à son partage.
 
 Né le 17 mars 1929 à Paris, passionné d’aéronautique depuis tout petit, 
          Jean-Marie Saget intègre l’école de l’air en 1949
  puis part aux États-Unis pour passer son brevet de pilote de chasse 
          qu’il obtient en 1952. Ayant choisi de servir à la 2e escadre de chasse  à Dijon, il vole sur les premiers avions à réaction de l’armée de l’air, 
          les Vampire  , 
          puis est transformé sur Ouragan  , 
          le premier avion à réaction français construit en série. C’est aux commandes 
          d’un de ces appareils qu’il remporte la course Paris-Cannes en 1954 
          et cette victoire lui vaut d’être remarqué par Marcel Dassault qui lui 
          propose de rejoindre les essais en vol de la maison. De 1955 à 1989, 
          il participe aux essais de l’ensemble des avions de combat de la société 
          Dassault, du Mystère au Mirage 4000, ainsi que des avions civils et 
          de l’Atlantique 2. En parallèle il devient instructeur dès 1955 et commence 
          à enseigner la voltige en 1972 sur CAP 10  . 
          Jean-Marie Saget est officier de la légion d’honneur, commandeur de 
          l’ordre national du Mérite, et décoré de la médaille de l’aéronautique. 
          Il totalise plus de 20000 heures de vol sur 150 types d’appareil, dont 
          6500 heures d’essais en vol.. 
 Très attaché à "rendre ce que l'aviation lui avait donné" comme il aimait 
          à dire, il était très investi dans le milieu associatif (président du 
          cercle de chasse de Nangis, sur Vampire), l'instruction en aéroclub 
          (président de l'aéroclub Marcel Dassault voltige), notamment vis-à-vis 
          des plus jeunes. Nombreux sont ceux qu'il a poussé et incité à se tourner 
          vers une carrière aéronautique et qui sont actuellement dans les unités 
          de l'Armée de l'air.
 
 De ses débuts sur chasseur à hélice (T-6
  , 
          P-51  , 
          P-47  ) 
          il aura connu l'essor des premiers jets jusqu'aux appareils les plus 
          performants et participé aux côtés des plus grands pilotes, Charles 
          Yeager, Roland Glavany  à la grande épopée des essais en vol. Modeste et humble au regard de 
          son expérience, c'est avec simplicité qu'il évoquait la formidable poussée 
          du Mirage G8, la maniabilité et le plaisir du pilotage de l'Alphajet  ou les performances du super Mirage 4000 qui inspirera le Rafale  . 
          Sans oublier les anecdotes des vols d'essais. Derrière ce flegme, on 
          devinait derrière un regard malicieux, l'enthousiasme qui l'habitait 
          à l'idée d'aller voler et qui ne l'a jamais quitté. L'énergie d'un passionné 
          qui aura dédié sa vie à l'aéronautique, à son développement et son partage. 
 
  Jean-Michel 
          Saget devant le Mirage F1 le 29 avril 1969 - © Dassault Aviation 
   
 Sources : Armée de l'air
 Droits : ©Armée de l'air
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 (18/06/2020)
 
 
 
       
        | Prise de commandement du nouveau major général 
          de l’Armée de l’air, le général Éric Autellet 
 
  Mise 
          à jour : 24/04/2020 - Auteur : Armée de lair - Direction : Armée 
          de l'air Le 6 avril 2020, le général Éric Autellet a pris ses fonctions de 
          major général de l’Armée de l’air et succède ainsi au général Olivier 
          Taprest.
 
 Depuis le 1er septembre 2017, le général Olivier Taprest
  occupait le poste de major général de l’Armée de l’air (MGAA). Le 27 
          février 2020, il faisait ses adieux aux armes, cédant sa place au général 
          Éric Autellet, nouveau MGAA. 
 Officier de la Légion d’honneur et de l’ordre national du Mérite, le 
          général Éric Autellet est issu de la promotion 1987 "Général Boichot"
  de l’École de l’air. Breveté pilote de chasse 
          en novembre 1990, il débute sa carrière comme pilote sur Mirage 2000  au sein de l’escadron de chasse 1/2 "Cigognes"  de Dijon. 
 Après une affectation à Cazaux, en 2000, en tant que commandant de l’escadron 
          de transition opérationnelle 1/8
  , 
          il revient en unité de combat, en 2002, comme commandant en second puis 
          commandant de l’escadron de chasse 2/12 "Picardie"  . 
          Avant de rejoindre en 2013 le cabinet du ministre de la Défense, cellule 
          « Opérations et relations internationales », il occupera successivement 
          les postes de Chef de la Division J5 Monde au CPCO, d’assistant militaire 
          du chef d’État-major de l’Armée de l’air et de membre du cabinet du 
          premier Commandant allié à la transformation de l’OTAN, aux Etats-Unis. 
          Nommé général en 2016, il devient commandant de l’École de l’air et 
          de la base aérienne 701 de Salon-de-Provence  , 
          puis chef de cabinet du chef d’État-major des Armées en 2018, avant 
          d’être nommé major général de l’Armée de l’air. 
 
 Voir actualité AEE du 25/03/2021
  Le 11 mars 2021, il a été nommé au poste de major 
          général des Armées et élevé aux rang et appellation de général d’armée 
          aérienne.
 
 Sources : Armée de l'air
 Droits : © Armée de l'air
 |  ET 1/61 Touraine
  - BA 123 Orléans-Bricy (29/04/2020) 
 
 
       
        | Un 17ème ATLAS pour l’Armée de l’air 
 Mise à jour : 28/04/2020 - Direction : Armée de l'air
 Le vendredi 24 avril 2020, Florence Parly, ministre des Armées, a 
          salué l’arrivée du 17e avion de transport militaire A400M Atlas sur 
          la base aérienne 123 d’Orléans-Bricy.
 
 Vendredi 24 avril, vers 15 h 00, l’A400M
  n°102 s’est posé, en provenance de Séville, sur la base aérienne 123 
          d’Orléans-Bricy  . 
          Livré par un équipage de l’Equipe de Marque Aviation de Transport du 
          Centre d’Expertise Aérienne Militaire, il est le 17ème à intégrer la 
          flotte de l’Armée de l’air, mise en œuvre, au sein de la 61ème Escadre 
          de transport, par l’Escadron de transport 01.061 « Touraine »  . 
 L’A400M progresse dans sa montée en puissance, et est dès à présent 
          l’avion de référence, dans les armées, pour le transport d’assaut. Capable 
          d’intervenir en première ligne sur les théâtres d’opérations, au cœur 
          d’un dispositif complexe et connecté, il dispose de systèmes d’autoprotection 
          et de transmission de données évolués. Ces systèmes permettent l’aérolargage 
          (jusqu'à 16 tonnes de matériels ou de parachutistes) ou d’effectuer 
          des poser d’assaut sur tout type de terrain. Il disposera à terme de 
          la capacité de pénétration en vol à basse altitude, tout temps, de jour 
          ou de nuit et de ravitaillement en vol des avions de chasse, de transport 
          et des hélicoptères. Avion de transport militaire tactique, l’A400M 
          Atlas est opérationnel depuis 2015 et permet à l’Armée de l’air de réaliser 
          des missions régulières vers tous les théâtres d’opération extérieure 
          et les implantations outre-mer. Conçu pour transporter jusqu’à 37 tonnes 
          de matériels, il réalise tous les types de missions de transport.
 
 L’A400M est également en mesure de réaliser des missions d’évacuation 
          sanitaire. Dans le cadre de l’opération Résilience, l’état-major des 
          armées renforce les capacités d’appui et de soutien aux services de 
          l’État pour faire face à la crise du Covid-19. Ainsi, une capacité de 
          transport médicalisé d’urgence a été développée sur A400M par le Centre 
          d’expertise aérienne militaire (CEAM) de l’Armée de l’air et le Service 
          de santé des armées (SSA). « L’A400M a encore récemment démontré 
          sa polyvalence lors du transfert de patients atteints par le Covid-19, 
          pour acheminer des biens essentiels en Polynésie française ou pour participer 
          au pont aérien organisé pour ravitailler l’île de Mayotte à partir de 
          La Réunion. Il est également essentiel dans le cadre de l’opération 
          Barkhane au Sahel pour des livraisons par air ou l’engagement d’unités 
          parachutistes. C’est un outil indispensable pour notre liberté d’action 
          », a souligné Florence Parly, ministre des Armées.
 
 La livraison d’un 17e A400M Atlas témoigne du maintien des activités 
          industrielles indispensables aux forces armées pour mener leurs missions 
          et activités les plus essentielles. Qualifié d’absolue nécessité par 
          la ministre des Armées le 6 avril dernier, cet effort est appuyé par 
          la loi de programmation militaire (LPM) 2019-2025, qui prévoit un total 
          de 25 A400M en service fin 2025
 
 
 
             
              | Pour mémoire, dans le contexte de l’opération Résilience lancée 
                le 16 mars 2020 par le Président de la République dans le cadre 
                de la lutte contre l’épidémie de Covid-19, une capacité de transport 
                médicalisée d’urgence au profit de patients atteints par le Covid-19 
                a été développée et mise en œuvre pour la première fois sur A400M 
                par le Centre d’expertise aérienne militaire (CEAM) de l’Armée 
                de l’Air et le Service de santé des armées (SSA) avec le soutien 
                des experts techniques de la DGA : cette configuration MédEvac 
                (pour évacuation médicalisée) a permis, entre le 1er et le 6 avril 
                dernier, de transférer en quatre rotations 16 patients sur les 
                45 évacués par les aéronefs de l’Armée de l’air. |  
  Livraison 
          du 17ème A400M MSN102 (F-RBAQ) pour l'Armée de l'air © 
          Armée de l'air 
   
 
  Livraison 
          du 17ème A400M MSN102 (F-RBAQ) pour l'Armée de l'air © 
          Armée de l'air 
   
 Sources : Armée de l'air
 Droits : © Armée de l'air
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 (19/05/2020)
 
 
       
        | Hommage au général Achille Lerche, ancien chef 
          d’état-major de l’Armée de l’air 
 
  Mise 
          à jour : 15/05/2020 - Direction : Armée de l'air L’Armée de l’air est en deuil. Le général d’armée aérienne Achille 
          Lerche nous a quittés, le 10 mai 2020. Pilote de chasse accompli, il 
          a achevé sa carrière en occupant le poste de chef d’état-major de l’Armée 
          de l’air. Retour sur son parcours exemplaire.
 
 Voir sa biographie sur le site
  
 Le général d’armée aérienne Philippe Lavigne
  , 
          chef d’état-major de l’Armée de l’air, tient à saluer « l’engagement 
          plein et entier de ce grand serviteur de l’État tout au long de sa carrière, 
          qui l’aura conduit aux plus hautes responsabilités à la tête de l’Armée 
          de l’air ».. 
 Sources : Armée de l'air
 Droits : ©Armée de l'air
 |  
 (30/05/2020)
 
 
       
        | Hommage au général Jean-Luc Mansion 
 Mise à jour : 29/05/2020 - Direction : Armée de l'air
 Le général de brigade aérienne (2s) Jean-Luc Mansion nous a quittés, 
          le 27 mai 2020. Officier de la Légion d’Honneur en 2003 et commandeur 
          de l’ordre national du Mérite en 2000, il fut leader du premier raid 
          lors de la guerre du Golfe le 17 janvier 1991. Nos pensées sont tournées 
          vers sa famille, ses proches et ses camarades de l'Armée de l'air. Bon 
          dernier vol mon général.
 
 Alors sous-officier, Jean-Luc Mansion devient pilote de chasse en 1975 
          à Tours et accède au corps des officiers en rejoignant l’École militaire 
          de l’air en septembre 1978
  . 
          Après un passage au sein de l’escadron de chasse 3/2 "Alsace"  à Dijon puis au sein de l’escadron de chasse 2/2 "Côte d’or"  , 
          il prend le commandement de l’escadron de chasse 2/11 "Vosges" 
           à Toul en 1990. 
 En janvier 1991, les Français contribuent aux premières missions offensives 
          sur le Koweït pendant la guerre du Golfe et, sous la conduite du commandant 
          Jean-Luc Mansion, douze Jaguar participent à un raid de bombardement 
          sur l’aérodrome d’Al-Jaber. Cette première mission connaît des pertes 
          importantes, quatre Jaguar sont touchés. Cela aura un impact sur la 
          suite de la campagne aérienne, notamment l’abandon des runs d’attaque 
          à basse altitude au profit des missions conduites en moyenne altitude.
 
 Retrouvez son témoignage poignant sur le lien joint
  . 
          [Voir Album "Guerre du Golfe  ] 
 La même année, en 1991, il est également admis en stage à l’École supérieure 
          de guerre aérienne (ESGA) et commande ensuite l’escadron de chasse 1/4 
          "Dauphiné"
  à Luxeuil les bains de 1993 à 1996. Il est affecté au centre d’opérations 
          air de l’état-major de l’Armée de l’air en tant que chef de division 
          ACTI 1 en 1996. Il prend le commandement de la base aérienne 126 de 
          Solenzara  de 2001 à 2003 puis est ensuite nommé commandant de la division C et 
          chef du groupement air au sein du Collège interarmées de défense. Il 
          occupe le poste de sous-chef emploi du Commandement de la force aérienne 
          de combat en 2006 et devient général de brigade aérienne en 2007. 
 L’Armée de l’air est en deuil et tient à saluer l’engagement de cet 
          Aviateur qui aura servi la France tout au long de sa carrière
 
 "Un chasseur ne meurt pas, il vole simplement 
          plus haut."
 
 (NdlR) J'ai eu le privilége d'avoir été 
          le commandant d'escadrille du Sergent-Chef Jean-Luc Mansion au sein 
          du 3ème EIV "Coyote" à Salon de Provence
  . 
 
  Préparation 
          du premier raid de la Guerre du Golfe sous la direction de son leander 
          Jean -Luc Mansion (à droite) - Crédit : @ Armée de l'air 
   
 
  Le 
          retour triomphal des pilotes de Jaguar à Toul , le 5 mars 1991, 
          A l'issue de l'Opération "Desert Storm" - Crédit : 
          @ Armée de l'air (source : "La Victoire venue du ciel - L'Armée de l'air 
          au Moyen-Orient" - page 139 - Editions Lavauzelle)
 
   
 Sources : Armée de l'air
 Droits : © Armée de l'air
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 BA 705
  - Tours 
      (09/06/2020) 
 (voir aussi "Dernier macaronnage de l'EAC de Tours"
  ) 
       
        | « Mission effectuée » : Dernier vol officiel pour 
          l’EAC sur la BA 705 
 
  Mise 
          à jour : 08/06/2020 - Auteur : Armée de l'air - Direction : Armée 
          de l'air Le 5 juin 2020 est le tournant d’une page historique marquant le 
          dernier vol officiel de l’École de l’aviation de chasse (EAC)
  sur la BA 705 de Tours. Après presque 60 ans de présence à Tours, l’EAC 
          va rejoindre la base aérienne 709 de Cognac. Retour 
          sur cette journée forte en émotion. 
 9h : début du briefing en présence de quelques familles de pilotes et 
          de mécaniciens. Le lieutenant-colonel Benjamin Le Gall, commandant l’EAC 
          et leader du vol de la patrouille de quatre Alphajet, donne ses directives, 
          précise l’ordre des runs et briefe une dernière fois sur les consignes 
          de sécurité tant en vol qu’au sol (port du masque par exemple).
 
 9h50 : les familles sont prises en charge par les Aviateurs qui leur 
          font découvrir leurs unités. Un moment de complicité et de découverte 
          avant le décollage.
 
 10h55 : décollage pour les pilotes, un sentiment de nostalgie se fait 
          ressentir et une envie d’émerveiller ses proches pour ce dernier décollage.
 
 11h25 à 12h : survol des communes de Tours et de ses alentours en patrouille 
          afin de les remercier pour toutes ces années de collaboration, de cohabitation 
          et de soutien. Un moyen également de faire des adieux. La tournée a 
          débuté par le survol de Saumur puis des communes suivantes : Cinq-Mars-la-Pile, 
          Saint-Étienne-de-Chigny, Luynes, Fondettes, Parçay-Meslay, Vouvray, 
          Rochecorbon, Saint-Cyr-sur-Loire et enfin Tours. Pour clôturer ce survol 
          des communes, un passage a été réalisé au-dessus de Villandry.
 
 12h15 : atterrissage sur la BA 705. Accueillis par le personnel de la 
          tour de contrôle en roulant au parking, l’équipage a découvert un message 
          de remerciement de la part des contrôleurs : un grand « merci » affiché 
          en équipe. Puis les pompiers ont pris la relève en arrosant les aéronefs. 
          Une image forte et symbolique qui a émerveillé petits et grands. Enfin 
          les familles ont à leur tour pu accueillir les pilotes. Entre émotion 
          forte d’avoir réalisé ce dernier vol officiel et regard vers l’avenir 
          et la formation modernisée des équipages sur PC-21
  , 
          l’EAC vient de réaliser sa « mission effectuée ». 
 
 
             
              | L’École de l’aviation de chasse est installée sur la BA 705 
                de Tours  depuis 1961. L’année 2020 marque un changement important, l’école 
                étant transférée sur la BA 709  de Cognac. Sur cette base, les futurs élèves pilotes apprendront 
                leur métier sur un nouvel aéronef, le PC-21  . 
                Cette évolution répond à un objectif de modernisation de la formation 
                des équipages chasse. Après 59 ans de présence à Tours et la formation 
                de milliers d’élèves, l’EAC peut être fière de sa « mission effectuée 
                ». |  (voir vidéo
  ) 
 
  Dernier 
          vol Alphajet EAC - Crédit : © Armée de l'Air 
   
 
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          vol Alphajet EAC - Crédit : © Armée de l'Air 
   
 
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          vol Alphajet EAC - Crédit : © Armée de l'Air 
   
 
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          vol Alphajet EAC - Crédit : © Armée de l'Air 
  
 
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          vol Alphajet EAC - Crédit : © Armée de l'Air 
   
 
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          vol Alphajet EAC - Crédit : © Armée de l'Air 
  
 (voir vidéo
  ) 
 (voir aussi "Dernier macaronnage de l'EAC de Tours"
  ) 
 Sources : Armée de l'air
 Droits : © Armée de l'air
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